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Options susceptibles d'être intégrées dans les contrats de retraite Madelin
Achevé de rédiger le 19/08/2014
Le marché de la retraite « Madelin » est progressivement devenu très concurrentiel, et les contrats se sont sophistiqués, au point d’emprunter désormais la plupart des caractéristiques des contrats d’assurance-vie « classiques ».
La tendance est aussi à un certain décloisonnement entre la phase d’épargne et la phase de rente.
La concurrence porte notamment sur :
Les options de rente :
rente réversible à 60 %, 80 %, 100 %...
rente à annuités garanties,
rentes par paliers avec une majoration (ou une diminution) durant les 5 premières années…
rente de conjoint immédiate,
rente majorée en cas de dépendance,
rente indexée sur le coût de la vie …
Le rendement du contrat (les assureurs disposent d’une plus grande latitude sur le « Madelin », comparé au PERP dont la gestion financière est cantonnée).
Les garanties de table ou de taux de rente, même s’il avec Solvabilité II, ce type d’engagements devient prohibitif pour les assureurs (et donc pour les assurés).
L’adjonction de garanties de prévoyance complémentaire à moindre frais (garantie plancher, exonération des cotisations, garantie de bonne fin…).
La largesse de la gamme d’unités de compte (UC).
La possibilité de différer une partie de la rente afin de continuer à investir sur les marchés financiers (rente partiellement investie en UC).
Les options d’arbitrage automatique :
investissement progressif,
sécurisation des plus-values,
dynamisation des plus-values,
rééquilibrage automatique,
stop-loss…
Les options de gestion du contrat (gestion libre, profilée, sous mandat).
Rédigé par Géraldine Vial
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